Incassable rain boy.
Tout débute par un love story avec pour conséquence la venue d'un enfant et les soucis qui vont avec. Notamment la / les maladie (s).
The unbreakable boy possède l'ADN de ces films plein de bonnes intentions mais dont le traitement demeurera affreusement lisse, banal, réalisé sans fard et de façon terriblement ennuyeuse. Même le "twist" ne l'ai plus au moment de sa révélation ; sans oublier le surlignage épais concernant l'alcoolisme du père.
J'ai d'ailleurs trouvé les personnages adultes assez rebutants, Zachary Levi ne risquant pas de relever le niveau, et le thème de l'autisme guère approfondi, plus axé sur la maladie des os de verre, qui présente pourtant moins d'enjeux cinématographiques.
Echec et mat.